le chaton des mers

Publié le par libermanparis

 

 

 

 

 

 

 

 

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T
<br /> Je m'aperçois avec stupeur que la page d'accueil est agrémentée d'offres de locations à Peros Guirec ainsi qu'à Plougatel avec photos à l'appui et d'une injonction à cliquer là où il faut pour<br /> gagner peut être une mini Cooper. Là je m'insurge. Points d'exclamations !!!! Point de salut. J'ai décidé de résister et de passer à la lutte armée clandestine et totalement solitaire. Je suis sur<br /> le point de rendre opérationnelle une terrible machine qui permettra d'un éclair détecter les menteurs, les voleurs, les profiteurs, les emperruqués et fardés qui profitent encore de ceux qui n'ont<br /> rien, des ordures comme l'autre Petainiste de Bessonet autres crapules de tous acabits. Cette machine à donc pour fonction :<br /> - dans un premier temps de détecter ces personnages.<br /> - dans un second temps de rendre totalement ridicul par la mise en place automatique d'un petit nuage barriolé de toutes les couleurs en suspension au dessus du personnage frappé par la foudre de<br /> l'appareil.<br /> - En dernier lieu on pourra assister à la mort naturelle du personnage, car comme tout le mode le sait le ridicule peut tuer, il suffit de s'en donner le peine.<br /> Dès que la machine sera je vous le ferai savoir.<br /> Donc étant dans ces bonnes dispositions j'ai pensé que la vie de diégo, Aldo, Abraham, Joséphine, Abdou, Matou, et malheureusement j'en passe (car il faut ouvrir 2 fois le site pour visualiser les<br /> commentaires)se divise en trois actes :<br /> <br /> <br /> Acte 0 : La préhistoire avant le cataclysme<br /> Acte 1 : L'an 0, le début du cataclisme qu'on peut situer en l'an 1933 de l'ère chrétienne<br /> Acte 2 : Je ne sait pas où je vais, mais j'y vais et en plus je suis pas tout seul<br /> Acte 3 : Tout est possible<br /> Acte 4 : Plus rien n'est possible<br /> Acte 5 : A secours<br /> <br /> <br />
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D
<br /> magnifiqueuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu...<br /> <br /> oh ouiiiiiiiiiiiiiiii<br /> <br /> la suite la suite la suite<br /> <br /> bisous<br /> <br /> <br />
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E
<br /> A l'autre bout du monde quelque part dans l'atlantique Sud, un nouveau personnage est rentré dans l'histoire. Ses copains l'appelait Kling Klong en référence du film surtout parce qu'il était<br /> amoureux le la belle sirène au yeux noirs qui bronzait toute nue sur son ile déserte en attendant que son bien aimé arrivât pour la réveiller de délicats bisous (pour le réveil en douceur) sur les<br /> tétons de sa torpeur estivale avec une canette de Coca Cola bien glacée. Une Lectrice du Morbihan qui se prénomme Rainette nous signale que le dernier commentaire donne une mauvaise image des<br /> socialistes. C'est vrai qu'ils sont pas assez radicaux surtout Dominique, sinon Martine est OK et je les aime tels qu'ils sont et je voudrai profiter de cette tribune pour dire que ce n'était pan<br /> mon intention. Au contraire et j'espère le prouver dans un avenir proche par des actes concrets. Bien c'est pas tout ça où en est Abraham dans tout ça. Là il faut que je publie le commentaire pour<br /> voir ce que j'avais écrit avant<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Après une longue période d'hibernation comateuse, Diégo se réveilla enfin en sursaut couvert de sueurs cahudes. Des milliers d'années lumières s'étaient écoulées pendant son sommeil, et comme à<br /> l'acoutumé son réveil fût accompagné de son habituelle gaule du matin qui tout le monde le sait : n'arrête pas le pélerin. Bon tout ça pour dire que Diégo était de nouveau prêt à trainer ses<br /> baskets de pélerin dans ce monde ultra pourri pour précher sa bonne cause : PLUS JAMAIS DE GUERRES, PLUS JAMAIS DE FAMINES NI DE MISERE, PLUS JAMAIS DE HAINES. Bref Diego était de gauche et par<br /> dessus le marché de gauche d'obédiance Jospinienne avec une (lègère) tandance à se prendre pour Lev Davidovitch Trotsky en personne, ce qui ne favorisait pas trop sa communication ce dont il se<br /> foutait car il était également pétrit de la culture du résultat acquise après des années de lavage de cerveau et de fond de culottes usées dans les écoles de commerces, et en l'occurence seul le<br /> résultat qui comptait était l'abolition de l'exploitataion de l'homme par l'homme, et si besoin de le remplacer l'exploitaton de l'homme par l'homme. En gros Sarkosy et toute sa clique ainsi que<br /> tous les autres pourris : on les envois dans mines de sels, pour leur apprendre à être encore plus productifs.<br /> Matou n'en avait rien à battre de tout ça. La politique ç'était pas son truc, la seule chose qui comptait ç'était les câlins, et entamer en ronronnement magistral. Un peu comme le brâme du cerf<br /> pendant sa parade nuptiale.<br /> <br /> <br />
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M
<br /> cette île de perdition où tous les sens étaient en ébullition, et les références simples qui dataient de la fin du 20 ème siècle avaient totalement disparues. Chiens et chats, loutres et perches,<br /> lapins et renards, avaient tous fait la paix, Plus de chasseurs de marcassins, plus de sous marins nucléaires, plus d'Ultras Merdeux Puants, plus de marées noires, plus de des salles des marchés<br /> qui avaient fait disparaître l'humanité sous leurs talons de fer, ils avaient tous été décapités. Évidemment nous sommes dans un doux rêve. Bisous à tous et à toutes, je vous aime.<br /> <br /> <br />
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